Les lectures de Mina Strogoff

posté le 23-09-2020 à 13:11:51

Loup et les hommes - Emmanuelle Pirotte

"C'est un labeur exigeant, incessant, celui qui consiste à tenter de faire mourir la haine en soi, de tuer le besoin de vengeance. Cela demande de la sagesse. Et ce n'est pas une vertu qu'il possède naturellement."

 


 
 
posté le 17-09-2020 à 11:26:52

Le Maître des Illusions - Donna Tartt

"La beauté c'est la terreur."

Editions Pocket. 790 pages.

 


 
 
posté le 16-09-2020 à 18:11:43

Pile à lire du Pumpkin Automn Challenge 2020

Bonjour à toutes et tous :)

C'est avec un peu de retard que je poste ma pile à lire pour le Pumpkin Automn Challenge, proposé par Le Terrier de Guimause, dont je mettrai le lien en bas de l'article pour celles et ceux qui veulent en savoir plus.

 


 
 
posté le 14-09-2020 à 09:18:11

Les chevaux fantômes et autres contes - Karen Blixen

"Dans la grande maison, une enfant malade était couchée. Pendant quelques temps, sa santé s'était améliorée, puis elle fit une rechute soudaine et, à partir de ce moment, tout se passa comme si elle refusait de guérir."

 


 
 
posté le 04-09-2020 à 21:16:45

Objectifs pour septembre 2020

Bonjour à toutes et tous,

J'avais pour habitude de faire un bilan de lecture du mois passé en plus de vous présenter les objectifs pour le mois à venir. Après avoir réfléchi, je me suis aperçue que faire un récapitulatif n'était pas forcément utile puisque je ne faisais que répéter en résumé ce que j'avais déjà dit dans les articles dédiés. J'ai donc décidé d'abandonner cette partie, et de passer directement aux objectifs que je me suis fixée. Et les défis du mois de septembre sont un peu plus ambitieux que celui du mois dernier, qui avait été, je le rappelle, bien bouffé par mon récent déménagement ^^

 


 
 
posté le 03-09-2020 à 11:31:53

Les Turbans de Venise - Nedim Gürsel [Abandonné]

"Un voile couleur de cendres s'était abattu sur la ville. Venise était un spectre gris surgi des eaux. Les madones de Giovanni aux doux regards avaient cessé de s'agiter dans l'esprit de Kâmil, elles s'étaient muées en un cri, un hurlement infini, et se lamentaient en un vibrato d'un air baroque."